Poids | 1,5 kg |
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Domaine | Chateau Palmer |
Appellation | 3 ème Grand cru classé, Margaux |
Millesime | 2010 |
Region | Bordeaux |
Pays | France |
Couleur | Rouge |
Format | 150cl |
Culture | Bio, Biodynamie |
Cépage | Merlot, Cabernet sauvignon, Petit verdot |
Palmer 2010, Margaux Magnum
1.190,00€ TTC
991,67€ HT
Parfaitement typé par sa finesse, le grand vin revêt une robe scintillante et dévoile un bouquet qui n’hésite pas à montrer sa puissance à travers d’intenses notes de fruits noirs mûrs, de vanille et de toasté.
Au palais, on retrouve la même complexité ainsi qu’une structure tannique de qualité, de la chair, du gras, un volume remarquable et une finale très longue et particulièrement racée.
Le projet de conversion en biodynamie a fait son chemin. Après une expérimentation menée sur un hectare en 2009 comparé à un hectare conduit en culture conventionnelle, on est passé à 11 ha en 2011, puis à 33 en 2013 pour atteindre la totalité en 2014. La démarche est en cours de certification.
R. Parker: 98/100
Wine Spectator: 95/100
11 en stock
Château Palmer
Un style unique que le temps magnifie
La complexité. Celle du terroir de Château Palmer s’exprime dans ses vins. Parcelle par parcelle, ses équipes y veillent au quotidien. Merlot, cabernet sauvignon et petit verdot, que protège et qu’enrichit une nature plurielle, développent des notes de fruits, de fleurs, et d’épices. Pas d’exubérance. Surtout pas. Mais, avec le temps qui passe, plus d’harmonie encore, de la longueur toujours. Entre richesse aromatique et puissance des tannins, du velours.
Les valeurs. Château Palmer. Le lieu est historique.
Le respect s’impose. Celui de ses terres et de son vignoble, mais aussi de ses vins. Les résultats de siècles de viticulture et de vinifications, au service d’une même sensibilité. Un style à part. Un référentiel.
Le point de départ et d’arrivée nécessaire pour de nouveaux cheminements. Si la nouveauté n’est pas une fin en soi, elle sert ici les vins d’hier et d’aujourd’hui, leur nature passée et présente. Elle est le fruit d’une liberté autorisant une remise en question permanente des pratiques, des prises de risque sans cesse mesurées… Pour les vins, leurs artisans et leur environnement.
La biodynamie. Pas un postulat, ni une posture. Mais un coup d’essai d’abord. Par curiosité.
Les premières expérimentations menées en 2008 laissent perplexes.
Par jusqu’au-boutisme, s’ensuivent des rencontres avec les acteurs du biodynamisme. Elles révèlent de façon manifeste le cœur de la démarche : revenir à la notion de ferme, réapprendre la nature. Une conviction naît cette fois. Place à un organisme agricole, fin d’une monoculture.
Depuis, des brebis paissent, des herbes poussent, des fleurs et des plantes aux vertus curatives grandissent, la biodiversité renaît et les produits de l’agrochimie disparaissent. Dans cette logique, la complexité est source d’enrichissement partagé.
Les fruits du travail des hommes les servent tous deux.
Un parti-pris, une vision. Un point d’équilibre.